L’eau du robinet est le produit alimentaire le plus contrôlé en France. Votre eau ne fait pas exception et subit de nombreux contrôles par l’Agence Régionale de Santé (ARS).

Depuis le transfert de la compétence eau potable à la CCVT au 1^er janvier 2023, nous travaillons main dans la main avec l’ARS et Véolia afin de vous garantir une eau de qualité et en quantité suffisante pour votre quotidien. Nous reprenons cette mission qui était autrefois assurée par les communes et syndicats dont nous saluons l'investissement durant de nombreuses décennies.

Vous pouvez donc retrouver sur cette page en téléchargement les contrôles réalisés sur votre commune :

Contrôles réalisés sur les communes :

Novembre 2024 :

MISE EN PLACE DU CONTRÔLE OBLIGATOIRE DES BRANCHEMENTS EAUX USEES EN CAS DE VENTE

Prises de RDV 03.44.12.12.55.

Afin d’accompagner le territoire dans sa démarche de transition écologique et énergétique, la Communauté de Communes du Vexin-Thelle s'engage dans une démarche d’élaboration de son Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET).

Le PCAET qu’est-ce que c’est ?

Le Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET) est issu de la Loi relative à la Transition Energétique pour la Croissance Verte (LTECV) du 17 août 2015 et concerne les intercommunalités de plus de 20 000 habitants.

Il s’inscrit dans un contexte national et régional réglementaire qui fixe des objectifs globaux chiffrés à atteindre dans le cadre de la Transition Écologique parmi lesquels :

• atteindre la neutralité carbone en 2050, réduire la consommation énergétique finale de 50% en 2050 (par rapport à 2012), porter la part des énergies renouvelables […] à 33% de la consommation finale brute d'énergie en 2030 (objectifs de la loi Énergie-Climat du 8 novembre 2019),
• développer l’autonomie énergétique des territoires et des entreprises et multiplier par 2 la production d’énergie renouvelable par rapport à 2015 (objectifs du SRADDET).

C’est un document de planification de la politique énergétique et climatique des intercommunalités, coconstruit avec les acteurs du territoire, qui s’inscrit dans une démarche à la fois stratégique et opérationnelle. C’est-à-dire que des actions sont mises en œuvre par les collectivités du territoire en collaboration avec ses acteurs socio-économiques, dans le but d’atteindre les objectifs de la stratégie du territoire qui seront définis dans le PCAET.

Le PCAET répondra à la fois à des enjeux climatiques, énergétiques, économiques, sociaux, sanitaires et environnementaux du territoire. Ses grands objectifs seront la lutte contre le dérèglement climatique, l’adaptation du territoire à ce changement climatique et la lutte contre la pollution atmosphérique.

La stratégie pour y parvenir se devra d’être à la fois ambitieuse et réaliste  : réduction des émissions de Gaz à Effet de Serre (GES), captation du  carbone (volet Climat du PCAET), maitrise des consommations énergétiques (volet Énergie du PCAET), maintien de la qualité de l’air extérieur (volet Air du PCAET), aménagement et préservation des espaces naturels (nature en ville, corridor écologiques, réservoirs de biodiversité…)

Les principaux leviers d’action seront la maitrise de l’énergie (sobriété, efficacité énergétique, développement des énergies renouvelables), mais aussi le changement des pratiques et des comportements de tous dans les secteurs des transports et de la mobilité, des bâtiments (résidentiel, patrimoine public,…), de l’économie (industrie et commerce), de l’agriculture, de la gestion des déchets et de milieux naturels, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire.

L’élaboration du PCAET

La démarche d’élaboration du Plan Climat Air Énergie Territorial de la CCVT a été lancée par délibération du conseil communautaire en date du 6 décembre 2018.

L’Étude de Planification Energétique (EPE)

Le volet Énergie du PCET a déjà été traité dans le cadre de l’Étude de Planification Energétique (EPE) en collaboration avec le SE60, qui s’est achevée fin 2020. Ce volet devra être mis à jour dans le document de PCAET final.

L’EPE a permis de réaliser un état des lieux de la balance énergétique du territoire, de définir une stratégie s’inscrivant dans le contexte réglementaire et de construire un plan d’action (34 actions réparties par secteur).

Le camion qui vient collecter vos déchets est bi-compartimenté. La benne à l’arrière est scindée en deux compartiments. L’un des côtés (2/3) est dédié aux déchets ménagers résiduels, et le tiers restant est dévolu aux déchets sélectifs.

Une fois la collecte terminée, le camion se rend sur le lieu de vidage des déchets. Les déchets ménagers déversés en premiers sont poussés par un tablier qui va les gerber au sol. De l’autre côté le compartiment des déchets sélectifs est « fermé » ce qui empêche toute descente des déchets recyclables.

Les ordures ménagères ainsi déchargées vont être incinérées et produiront de la chaleur et de l’électricité ; les mâchefers (résidus de combustion) serviront notamment dans la fabrication de supports routiers. Les déchets sélectifs sont ensuite déchargés en centre de tri où ils sont retriés par famille et mis en balle avant leur expédition vers leur usine de recyclage.

En 2021, ce sont 4 900 tonnes de déchets ménagers résiduels qui ont été traités et 1 270 tonnes de déchets recyclables.

Retrouvez votre calendrier de collecte de déchets 2025 par commune : 

Le SPANC, c'est quoi ? 

La loi sur l’Eau a imposé aux collectivités de mettre en place un Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC), lorsque les installations ne sont pas reliées à un réseau collectif (tout-à-l'égout). Les communes du Vexin-Thelle ont transféré la compétence assainissement non-collectif à la Communauté de Communes par arrêté préfectoral du 17 novembre 2005 afin de réaliser des économies d’échelle.

Le contrôle diagnostic de l’existant est prioritairement un état des lieux. Il vise à vérifier l’existence, l'implantation, les caractéristiques, l'état général et le bon fonctionnement d'une installation d'assainissement individuelle.

Les techniciens du SPANC, employés par la CCVT, peuvent fournir à tout propriétaire et/ou usager, toutes les informations réglementaires et conseils techniques nécessaires au traitement des eaux usées.

Le rôle du SPANC

• Contrôler les installations d'assainissement individuel (conception, réalisation, diagnostic dans le cadre d'une vente, contrôle périodique de bon fonctionnement)
• Conseiller et accompagner les usagers
• Protéger les cours d'eau et les nappes phréatiques
• Limiter les pollutions domestiques

Les différentes filières d'assainissement non-collectif

• Les tranchées d'épandage
• Les filtres à sable
• Les filtres compacts
• Les filtres à macraphytes ou "plantées de roseaux"
• Les micro-stations

Les obligations des usagers 

• Le cas échéant, équiper votre domicile d'une installation d'assainissement non-collectif
• Procéder aux travaux prescrits par le SPANC 
• Entretenir votre système régulièrement pour le maintenir en bon état de fonctionnement
• Permettre aux agents du SPANC d'accéder facilement à l'installation
• S'acquitter de la redevance pour le contrôle

La tarification du service 

La Foire Aux Questions

Que faire en cas d’indisponibilité le jour de la visite du technicien ?

Si vous n’êtes pas disponible le jour prévu du rendez vous, vous pouvez prendre contact avec le technicien pour obtenir une autre date de rendez vous, ou vous faire représenter par une personne de votre choix en ayant préalablement informé le technicien au 03 44 49 15 15.

Je ne sais pas où se trouve mon système d’assainissement ?

Le propriétaire est chargé de rendre accessible son système d’assainissement (trappe de visite de la fosse septique, regard de visite…). S'il ignore où celui-ci se trouve, il doit prendre l’initiative de le chercher en fonction de la localisation de la sortie des eaux vannes (toilettes) et des eaux grises/ménagères (cuisine et salle de bain).

De quoi est composée une filière d’assainissement non-collectif correspondant aux normes actuelles ?

Une installation d’assainissement individuel comporte :

• les canalisations de collecte des eaux ménagères (cuisine, salle de bain) et des eaux vannes (WC),
• le prétraitement (la fosse toutes eaux, bac à graisse…),
• les ouvrages de transfert : canalisations, poste de relevage (le cas échéant),
• la ventilation de l’installation, composée d’une entrée et d’une sortie d’air situées au dessus des locaux habités,
• le dispositif d’épuration (traitement : tranchées d’épandages, filtre à sable…),
• l’exutoire si nécessaire (dispersion dans le sol ou par évacuation vers le milieu superficiel).

D'autres questions ?
N'hésitez pas à contacter le service eau et assainissement de la Communauté de Communes du Vexin-Thelle au 03 44 49 15 15.

Les radiographies numériques remplacent progressivement les radiographies argentiques dans les cabinets de radiologie. 

S’il est recommandé de conserver ses anciennes radiographies pour pouvoir les comparer avec des versions plus récentes, que faire de nos vieilles radiographies argentiques que nous avons tendance à garder durant de très nombreuses années.  

Un peu d’histoire La radiographie fait partie des techniques d’imagerie de transmission par rayons X. Ces rayons sont des ondes électromagnétiques qui sont capables de traverser la matière, donc notre corps.  

Les rayons X ont été découverts par Wilhelm Röntgen en 1895 lorsque pendant ses expériences, il remarqua que ces rayons étaient capables de s’imprimer sur des plaques photographiques. Cette découverte marque le début de l’imagerie qui se développa et pas uniquement en médecine. Cette technique est également utilisée à ce jour par les services de sécurité (pour voir le contenu de notre valise à l’aéroport par exemple).  

Comment se débarasser de Ses radios ? 

Les radiographies argentiques sont considérées comme un déchet dangereux. Elles sont composées d’un support en plastique sur lequel une couche d’halogénures d’argent est posée. Ces derniers peuvent polluer les milieux naturels, s’ils sont déposés dans la nature. Pour révéler les images les radiographies sont « baignées » dans de l’acide.  Aucun des composants suscités n’est biodégradable. 

Une plaque jetée dans la nature ou dans vos déchets ménagers mettra plus de 300 ans à se dégrader.  Il n’est donc pas concevable de les éliminer via la filière de traitement des déchets ménagers résiduels.  

Afin de préserver l’environnement et vous permettre de vous séparer de vos radiographies tout en les recyclant, la Communauté de Communes du Vexin-Thelle vous permet de les déposer dans des contenants adaptés : Au point propre à Porcheux A la déchèterie à Liancourt St Pierre A l’accueil de la CCVT  

Que deviennent-elles ? 

Les radiographies sont lavées dans une sorte de lessiveuse avec une solution à base d’eau et d’enzymes spécialement conçue pour dégrader la couche de cellulose contenant les réactifs chimiques  et les sels argentiques. Après quelques jours dans une cuve de décantation, les boues obtenues sont séchées afin de les transformer en « cendres ». Elles seront ensuite chauffées à très haute température afin d’en extraire l’argent à 99.9 %. Le plastique libéré de sa couche d’argent et des produits chimiques est lavé et dirigé vers une usine de textile où il rejoindra le même processus de valorisation que les bouteilles et flacons que vous déposez dans votre poubelle à couvercle jaune. Cette nouvelle matière formera de nouvelles bouteilles, de nouveaux flacons en plastique, ou toutes sortes d’objets en plastique, et ce sans avoir besoin de recourir à la matière vierge (le pétrole) pour les réaliser. 

Pensez donc à déposer vos radiographies aux lieux indiqués ci-dessus. La planète vous en remerciera.

Quelques mots qui résument les formations qui sont effectuées régulièrement par le service environnement de notre collectivité.  

Ces rendez-vous prennent un réel sens de partage lorsqu’il s’agit de parler avec les plus petits de la sauvegarde de notre planète, tant les enjeux sont déjà très présents dans leur esprit et dans leur cœur malgré leur jeune âge. 

Ainsi, c’est avec plaisir qu’une « formation » ou plutôt un échange sur fond d’histoire ludique a été dispensé au centre de loisirs à Montagny en Vexin, ou près d’une quinzaine de tout petits ont pu discuter sur la préservation de notre environnement et  la place importante qu’occupe le tri sélectif dans les habitudes de leur famille.  

L’implication des jeunes pour le tri sélectif concerne également nos sportifs. Ainsi, le club sportif chaumontois (dans le cadre d’une semaine de stage) a demandé à notre collectivité d’intervenir pour  sensibiliser ses adhérents à la préservation de nos ressources naturelles. L’accent a naturellement été mis sur les « matchs » ou tout un chacun utilise des bouteilles d’eau, des canettes, des paquets de gâteaux, et du shampoing/gel douche dans les vestiaires… autant de déchets qu’il ne faut absolument pas retrouver dans les déchets ménagers. C’est un public d’une quarantaine de jeunes adolescents qui a donc été sensibilisé à ce tri. A l’issue de cette formation des étiquettes déposées sur les bacs de déchets ont été réalisées pour rappeler l’ensemble des informations débattues lors de cet échange (pour nos joueurs, comme pour leurs adversaires qui viendront fouler les terrains de notre plaine des sports).    

Nous vous remercions de continuer à contribuer au geste citoyen.  Nous vous rappelons que si vous souhaitez une intervention liée au tri sélectif, le service environnement de la Communauté de Communes du Vexin-Thelle est à votre disposition.

Chaque année plus d’un milliard de piles sont vendues en France. 

Chaque foyer en utilise environ 21 par an. Pour le territoire du Vexin-Thelle, on peut estimer que 178 500 piles sont achetées chaque année. 

En 2018, ce sont près de 1 821 Kg de piles qui ont été déposés en déchèterie. 

En 2019, seulement 600 Kg de piles ont été recyclés sur le territoire du Vexin-Thelle, soit une baisse de 1221 Kg…   

Pourtant, les piles ne sont pas des déchets anodins pour l’environnement.  

Constat quant à leur recyclage Malheureusement, comme expliqué en préambule, seulement une infime partie des piles achetées est déposée en déchèterie.  Il est pourtant important de ne pas les jeter dans les ordures ménagères ou dans la nature. Les piles sont composées de plastique, de papier, mais surtout de métaux lourds qui sont pour certains toxiques et très polluants pour les sols, notamment le nickel, cadmium, mercure, plomb, zinc, lithium… Jetées dans la nature ou dans le bac à déchets ménagers, les piles vont se dégrader sous l’effet de la corrosion entraînant une pollution des sols et des nappes phréatiques. 

Recyclage des piles 

Une fois déposées à la déchèterie à Liancourt St Pierre ou au point propre à Porcheux, ces dernières sont prises en charge sans aucun coût pour la collectivité par l’organisme COREPILE. Leur traitement permet de recycler les piles pour 50 à 80 % de leur composition.  Pour une tonne de piles alcalines, il est récupéré 260 Kg de zinc, 330 Kg d’alliages à base de fer et de nickel et 180 Kg de métaux divers comme le cobalt ou le plomb.  Le nickel quant à lui est utilisé pour la fabrication de panneaux photovoltaïques. 

Mais rien de tout cela ne peut se faire sans votre geste. C’est pourquoi nous vous remercions de déposer vos piles et petits accumulateurs en déchèterie ou au point propre. Une borne de collecte est également présente à la Communauté de Communes du Vexin-Thelle et dans la plupart des mairies du territoire.

L'assainissement d'un immeuble est dit collectif lorsque ses eaux usées sont collectées par un réseau public d'assainissement, puis acheminées, en vue d'y être traitées, dans une station d'épuration (STEP). 

La collectivité est alors responsable de la police de ses réseaux et du bon fonctionnement de sa station d'épuration.     

Une station d'épuration nettoie les eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. Il existe plusieurs types de stations d'épuration, mais leur principe de fonctionnement reste le même, à savoir qu'elles utilisent le pouvoir épurateur des micro-organismes. 

Le modèle le plus connu est la station d'épuration dite à « boues activées », c'est une unité de dépollution typique des zones urbaines. Il est à noter que la capacité d'une station d'épuration se mesure en équivalent-habitant (EH).     

Les stations locales :  

Sur le territoire de la Communauté de Communes du Vexin-Thelle, on compte 5 stations d'épuration en fonctionnement :

• Chaumont-en-Vexin, station de type « boues activées » de 5 000 EH
• Trie-château, station de type « boues activées » de 1 600 EH
• Monneville, station de type « boues activées » de 1 100 EH
• Lavilletertre, station de type « boues activées » de 600 EH
• Boubiers, station de type « boues activées » de 400 EH
• Nouvelle station d'épuration en cours de construction     

Fonctionnement : 

Les différentes phases de « nettoyage » d'une station d'épuration sont :  

1. le dégrillage En arrivant dans la station, les eaux usées passent dans un dégrilleur : une sorte de tamis qui les débarrasse des déchets grossiers (chiffons, morceaux de bois, plastiques, feuilles…).  
2. Le dessablage et le déshuilage Les eaux s'écoulent ensuite dans un bassin où les matières lourdes (sables, graviers…) se déposent au fond, alors que les matières légères (huiles, graisses, hydrocarbures…) remontent en surface. Ces déchets sont le plus souvent éliminés avec les ordures ménagères.  
3. Le traitement biologique C'est la partie essentielle du traitement. Les eaux usées arrivent dans un bassin où se développent d'innombrables micro-organismes. La pollution est alors digérée par ces êtres vivants microscopiques. Ce processus naturel, observable dans les rivières est très long. Grâce à un brassage mécanique et à un apport artificiel d'air, les micro-organismes se reproduisent très rapidement (leur nombre double toutes les 10 minutes). Les micro-organismes en suspension dans le bassin, finissent par mourir et s'agglomérer entre eux, formant ainsi des boues.  
4. La clarification Dans le bassin suivant, les eaux sont séparées des boues. Ces dernières décantent au fond du bassin, puis elles sont raclées et évacuées. L'eau, ainsi débarrassée de 80 à 95% de ses impuretés, subit alors des analyses et des contrôles avant d'être rejetée dans le milieu naturel.  
5. Le traitement des boues Un habitant, en rejetant ses eaux usées, produit 2 litres de boues résiduaires par jour. Ces boues, à l'état semi-liquide peuvent être déshydratées ou compostées. Leur évacuation finale est l'incinération ou l'épandage dans les champs agricoles.    

Les obligations :  

Le Code de la santé publique précise que "le raccordement des immeubles aux égouts est obligatoire dans un délai de deux ans après leur mise en service", et que "tous les ouvrages nécessaires pour amener les eaux usées à la partie publique du branchement sont à la charge exclusive du propriétaire" (art. L. 35-1). Si l'obligation de raccordement n'est pas respectée dans les délais fixés, l'usager court le risque de se voir infliger une amende. La commune, après mise en demeure, peut procéder d'office aux travaux nécessaires, aux frais du propriétaire, même sur le domaine privé.     

Les rejets :  

L'usager est tenu d'observer certaines précautions. Le réseau n'est pas destiné à recevoir les déchets. Les textes réglementaires sur l'assainissement interdisent l'évacuation de toute substance ou tout produit présentant un risque pour le personnel d'entretien des réseaux, susceptible de dégrader les installations d'assainissement ou d'en entraver le bon fonctionnement. De même, les rejets de toute activité professionnelle exercée dans un immeuble d'habitation doivent faire l'objet d'un traitement spécifique, si leur composition diffère de celle des eaux usées domestiques. 

Produits à ne pas jeter dans les éviers, les toilettes ou les regards d'évacuation :

• les médicaments périmés ou entamés. Des circuits de collecte de médicaments existent souvent. Renseignez-vous auprès de votre pharmacien,
• les restes de désherbants ou d'engrais utilisés pour le jardinage, les produits contre les rongeurs (rats, souris) ou contre les limaces, etc.,
• les huiles de vidange neuves ou usées (rapporter les bidons non utilisés ou recueillir les huiles usées dans des bidons et les apporter chez le garagiste, ou à la déchetterie la plus proche), les hydrocarbures, essence à détacher, essence de térébenthine, etc
• les fonds de pots de peinture, de produits pour vernir les bois, les insecticides domestiques et les produits pour protéger les bois des insectes etc. (les apporter à la déchetterie la plus proche),
• l'eau de pluie des gouttières de la maison.     

Pour plus de renseignements : 03 44 49 15 15 / eau@vexinthelle.com